Kooo
une formation de l'art avec l'idee de beaute et l'idee d u but d'oeuvre litteraire
moeurs doivent etre conforme avec l'epoque et le pays . Ca s'apelle regle de la couleur local?
Ni au moeurs ni au coutume de la nation- racine a dit on ne doit pas change qqch
bienseance externe est la corps entre l'objet (le caractere) et le sujet (le public)
la regle de la vraisemblance commande au poete de suivre d'opinion comuune dons la conception du sujet, la regle de bienseance, fait de la meme opinion sans guide dans le trase de caractere et de moeurs de personnage.
La regle suivante- le merveilleux est une partie indisponsable a la poesie. Sans le merv. Il n'y a ni curiousite, ni admiration. Le M. sousleve ? Admiration. On parle pour le grand genre- l'epopee et la tragedie. Le M. represente tout ce qui est contre le cours ordinaire de la nature. La theorie du M. remante a Aristote. Il a it il faut mettre du M. dans le tragedie et dans les epopees en peu en mettre jusqu'a l'incroyable qui est ce qui produit le plus l'etonnement. Le problem pour les theoriciens classiques etait que le M. est le fruit d'imagination et nom de la raison. L'intervension divine etait remplace par le machine. En general le siecle de la raison ne peut etre le siecle du Marveill.
Parce que la vraisemblance est touf? Le merveilleux (dusi)
unite d'action et des episodes. La regle de trois unites est considere comme representant de toutes les doctrines classiques car on pense surtout au theatre de racine et de corneille. L'unite d'action s'applique a tout la poesie et est aussi genrale que la regle de la vraisemblance. Les regles de l'unite et du lieu sont uniquement pour la poesie dramatique. Elles sont une appliqation de la regle de la vraisemblance et la representation. L'unite d'action a ete formule par Aristote, il a dit „la fable est une, non pas comme (…) les penses par l'unite du hero? Seul action