L'école des femmes, molière, acte 1 scène 1
Avant tout, l’amour est un sentiment présent dans ce monologue du protagoniste d’Arnolphe. Ce sentiment est retranscrit par plusieurs procédé qu’Arnolphe évoque dans cette scène. On peut en tout premier lieu parler des éloges que fait Arnolphe sur le physique d’Agnès. Cela peut être illustré par de nombreux procédé : "a soutenu ma vue" V-5 "en la regardant" V-9, "je voyais"V-9, "je ne la vis si belle" V-14. On retrouve un champs lexical de la vision très riche. On comprend donc que par ces …afficher plus de contenu…
Sa nervosité peut être souligné par les V-1 à 3 : « J’ai peine, je l’avoue, à demeurer en place,[…] un ordre et dedans et dehors ». et un parallélisme peut être souligné dans le V-3 : « et dedans et dehors ». Aussi, dans le V-28, il cherche à exprimer cette colère par des phrases exclamatifs. Le control de la situation échappe à ce personnage qui connaît des aspect de planificateur et qui apprécie en générale d’avoir la situation en main. D’autre part, il s’avère que cette scène connaît un coté se rapprochant du registre tragique. Par ces expressions et ses émotion, on peut le remarquer par plusieurs procédés syntaxiques et du vocabulaires : Dans le V-6 il se sent hyperboliquement « à deux doigts du trépas » qui souligne sont état extrême alors qu’en face