LA CONFESION
On a divisé le texte en deux grandes parties, le passé et le présent :
Le passé de leur vie commence de la ligne 1 jusqu’à la ligne 51, et comme titre on a choisi « La jeunesse et la promesse de Marguerite et Suzanne »,
On a choisi ce titre parce que cette partie nous raconte le passé et la promesse des deux.
Le présent de leur vie on l’a divisé en plusieurs parties :
a) La première partie du présent commence de la ligne 52 jusqu’à la ligne 85. Comme titre on a choisi « La communion de Marguerite », parce que le prêtre Simon vient chez elle pour donner l’extrême-onction.
b) La deuxième partie du présent commence de la ligne 86 jusqu’à la ligne 194. Comme titre on a choisi « La confession de Marguerite », parce que c’est quand Marguerite révèle à sa sœur, Suzanne, comment elle avait tué son futur fiancé par jalousie et ensuite lui demande son pardon avant de mourir.
c) La troisième et dernière partie du présent commence de la ligne 195 jusqu’à la ligne 201. Comme titre on a choisi « Le pardon de Suzanne à Marguerite », parce que malgré la douleur que Suzanne sent à ce moment-là, elle la pardonne.
3. Vocabulaire :
Ligne 3 : haletait : Avoir une respiration précipitée et bruyante.
Ligne 5 : convulsée : contracter et aussi hagard : Qui est en proie à un trouble violent
Ligne 9 : L’agonisante : Qui est à son déclin
Ligne 13 : sinistre : Qui est triste et ennuyeux
Ligne 15 : fiole : Petit flacon de verre à col étroit.
Ligne 60 : éperdument : une manière violent (violemment)
Ligne 11 : l’extrême-onction : Sacrement des malades en train de mourir.
Ligne 68 : en surplis : Vêtement liturgique de toile fine, blanche, à manches larges, qui descend jusqu'aux genoux et se porte par-dessus la soutane.
Ligne 69 : balbutia : Parler avec hésitation, difficulté
Ligne 87 : rauques : avoir la voix rude.
Ligne 100 : Tressaillit : Sursauter sous le coup de quelque émotion.
Le registre de langue employée c’est le registre soutenu, parce qu’on utilise le