la cuiller sale les Nouveaux contes d’Amadou Koumba.
Quant aux contes africains, difficile d'en donner une définition, compte tenu de l'étendue du continent, de la diversité des peuples, des modes devie et des langues… n’oublions pas ces propos de Jacques Chevrier, qui disait dans L'arbre à palabres, à propos des sociétés africaines, " la parole demeure - pour combien de temps encore ? – le support culturel prioritaire et majoritaire par excellence, dans la mesure où elle tisse entre les générations passées et présentes ce lien de continuité et de solidarité sans lequel il n'existe nihistoire ni civilisation. " En Afrique comme dans la Caraïbe, la littérature orale à laquelle appartiennent les contes est associée à la vie de tous les jours, mais c'est à la nuit tombée que les contesse disent car toutes sortes d'interdits sont attachés à leur récitation en plein jour. En effet, dans ces récits symboliques, on pose généralement un problème auquel un dénouement, une solution sont toujours apportés