La curee description epique et critique
Nous allons étudier un passage de La curée de Zola, il s’agit d’un extrait du Chapitre III à la page cent-soixante deux à partir de « Cependant la fortune » jusqu’à « embrassade énormes » ; Emile Zola, écrivain, journaliste et homme public français né à Paris le 2 avril 1840, écrit le deuxième roman de la série des Rougon Maccard, c’est une œuvre naturaliste qui relate l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second empire. Nous verrons tout d’abord une description épique de la ville de Paris, puis nous continueront par la description critique de cette ville.
Tout d’abord l’extrait étudié, nous montre que les habitants de la ville de Paris sont prés à tout pour gagner de l’argent, il y a de la férocité dans leur actes, ont peut voir dans le texte que l’auteur remplace la chasse par la férocité de la population « C’était l’heure où la curée ardente emplit un coin de foret de l’aboiement des chiens » (l.3) cette frase soutient l’idée de la violence ; la phrase : « du claquement des fouets » (l.4)montre le début d’une chasse à l’argent qui est satisfaite très rapidement et « Les appétits lâchés se contentaient enfin » (l.5) Zola a fait une métaphore ou la curée serait l’argent et ou tous les hommes d’affaire seraient des chiens en chasse d’argent.
Maintenant, nous allons voir comment l’auteur fait une métaphore de l’argent des nouveaux riches de Paris en le remplaçant par le feu « Elle brulait en plein Paris » (l.2) on parle alors de l’argent de Saccard qui ne fait que s’accroitre et qui prend de l’importance dans la ville de Paris « feu de joie colossal » (l.2) ; « ardente » (l.3) ; « flamboiement des torches » (l.5). Le feu étant un élément ravageur, cette métaphore nous montre que les nouveaux riches comme Saccard détruisent petit à petit Paris en s’enrichissant.
Nous avons vu que l’auteur fait une description épique de la ville en montrant avec quelle ardeur ces hommes arrivent à gagner de l’argent à Paris,