La laitière et le pot au lait
I) L’art du récit.
a) Portrait d’une paysanne ambitieuse :
- Verbes de mouvement
- projets
- tenue vestimentaire légère
- vers 5 '"pour être plus agile" vient souligner sa détermination a etre dans lé meilleures conditions pour mener a bien sn affaire
b) un récit bien structuré :
- Plan du texte : 1ére partie : Le portrait de Perrette (l 11 à 29) tenue vestimentaire, pensée de Perette…
2ème partie : Le monologue intérieur qui traduit les rêves de Perrette
3ème partie : retour au récit (l22 à 27) présent de narration qui actualise la scène, retour au foyer.
4ème partie : Portée générale de l’accident (l 28 à 29) morale
II. L’ironie ou le retour à la réalité a) Tonalité humoristique et ironique
- Vers 2 : "bien posé sur son.." LF établit une stabilité au pot au lait qui pt porter a suspicion
- vers 4 "allait grands pas" = anticipation de la laitière qui se dirige trop rapidement vers le chemin dune réussite qui lui semble certaine
- vers 8, emploi de l'imparfait comptait + déjà elle se tourne vers l’irréel, anticipe sur le présent
- « Elle prétendait (vers 3)
- les verbes a l’imparfait qui suivent : "achetait", "faisait"…s'assimilent + comme s’ancrant dans un futur certain, tandis qu'il devrait être hypothétique - « Notre laitière » (vers 7) - Vers 22 -23 accélérations, emploie du présent - Chute brutale : rapide alors que « l’ascension imaginaire » dure une dizaine de vers
Cette chute entraine avec elle tout l’état d’esprit de Perrette qui passe d’ambitieuse, heureuse, a naïve, victime de désillusions…
b) Du rêve à la farce : L.F cite volontairement un genre littéraire précis : la farce (l 28) référence à Molière.
III. Dimension morale du texte : a) Défense de Perrette : - Morale qui débute par 2 questions rhétoriques -> caractère 'humain" de l’imagination "quel esprit ne bat la campagne…" Battre la campagne, et donc se laisser bercer par ses illusions, ou encore faire châteaux en Espagne,