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La liberté consiste t elle a faire ce qui nous plait?

1541 mots 7 pages
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Philosophie : La liberté

Sujet : La liberté consiste-t-elle à faire ce qu'il nous plait ?

L'homme cherche ce qui lui est bénéfique, donc il ne souhaite la liberté qu'à cette condition. Liberté et bonheur sont étroitement liés. En effet, comment envisager un concept si il doit être nuisible ? Mais agir selon nos pulsions rend-il vraiment heureux ? La liberté consiste-t-elle a faire ce qu'il nous plait ? Autrement dit, la licence totale et le rejet des contraintes entraînent-elles automatiquement la liberté ? Il est donc question de savoir si la liberté individuelle est possible, puis s'il est forcément nécessaire de limiter notre liberté.

Dans Gorgias, le sophiste Calliclès, dont les propos sont rapportés par Platon fait l'apologie de la licence. Il invite à rejeter les contraintes afin de satisfaire inconditionnellement tous les désirs. La liberté consisterait à ne dépendre de rien ni de personne "comment en effet un homme pourrait-il être heureux, s'il est esclave de quelqu'un." Il apparaît alors idéal de se comporter "suivant la nature", pour cela il faut employer tout son courage et son intelligence et profiter des capacités innées. Un tel concept implique des chances différentes pour chacun, soutient les inégalités, et ne peut qu'entraîner une régression de l'organisation humaine. L'aboutissement serait, par conséquent, la loi du plus fort. Dans cet éloge de l'intempérance, la morale est présentée contre-nature. Un exemple fictif de cet assouvissement inconditionnel de toutes les pulsions, est donné par Anthony Burgess dans son roman Orange Mécanique, adapté au cinéma par Stanley Kubrick en 1971. Le protagoniste, Alex - dont le prénom signifie en latin sans loi "A-lex" – est adepte de "l'ultra-violence" et refuse de limiter ses pulsions. Mais par cette permissivité qu'il s'accorde, il va à l'encontre du bonheur de ses victimes. Il existe aussi une liberté physique qui nous limite et constitue une inégalité supplémentaire. C'est un

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  • Aimons-nous vraiment la liberté?
    912 mots | 4 pages

    Aimons-nous vraiment la liberté ? 1) Définitions Aimer : éprouver une forte attirance pour quelqu’un ou quelque chose. Liberté :  Définition négative : capacité d’agirai sans obstacles ou sans contraintes.  Capacité de faire ce que l’on veut :  Faire ce que l’on désire ; suivre nos impulsions sans rencontrer d’obstacle ou de contrainte.….

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    1589 mots | 7 pages

    Première partie: un premier sens, être libre, c'est ne subir aucune contrainte d'ordre physique ou légal. Mais si l'absence de contraintes rend possible la liberté, elle ne suffit cependant pas à la définir concrètement en situation. Positivement, être libre se dit par rapport à une action qui résulte d'une décision de la volonté. Quand on se dit libre, on agit en fonction de ce que réclame sa volonté. Un acte libre serait donc un acte non contraint et qui résulterait d'une décision de la volonté.….

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  • AAAA
    1798 mots | 8 pages

    L'auteur nous dit que si ces règles viennent d'une autorité étrangère ou ennemie, le peuple va le ressentir comme une atteinte à sa liberté. Alors que si on lit la fin de la phrase «qui soit aimée comme appartenant à ceux qu'elle dirige» à ce moment là le peuple va se dire que ces règles sont mises en place pour leur bien. 3) Dissertation : Limiter la liberté, est-ce la détruire ? La première définition à laquelle on pense, pour le mot liberté, est de faire ce que l'on veut. Dans cette définition, le mot «faire» implique l'action, autrement dit la puissance, pour pouvoir faire quelque chose.….

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  • La liberté consiste t elle à pouvoir ne pas faire ?
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    (...) Prenons par exemple le concept d'autorité. Le maître d'école n'agit pas directement de sorte que ses élèves se taisent lorsqu'il parle. La discipline qu'il a inculquée à ses élèves révèle une ascendance du maître sur ses élèves ; ainsi, l'autorité, qui est le pouvoir de faire agir sans agir (le faire qui implique comme précédemment une action directe, l'établissement de la discipline par un ordre qui implique une obéissance, et une action indirecte, que l'on constate en supposant une action de discipline réalisée en propre par les élèves), est une action impliquée qui se révèle au monde par l'effectivité du faire-faire. La condition d'être si particulière du maître est régie par son pouvoir de faire-faire : il véhicule l'autorité (justifiée par une puissance morale, le savoir que n'ont pas encore les élèves, et physique, la force adulte et la canne, par exemple) et donc véhicule un certain pouvoir, dont il est….

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    "Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?" Notre objectif est de dégager une problématique, c'est-à-dire d’être en mesure d’identifier des enjeux, ce qui se cache derrière le sujet et que celui-ci ne « dit » pas. Cela pourrait se faire à partit du présupposé suivant : - Premier moment ou présupposé (fondé sur une évidence, une observation immédiate) : il semble qu’effectivement, à première vue, la liberté soit l'absence de toute contrainte. C'est-à-dire la capacité d’agir en toute indépendance, sans avoir de comptes à rendre à personne, d’autre qu’à….

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    1) La Glycolyse C’est un ensemble de reactions qui a lieu quelque soit les conditions aérobiose ou anaérobiose. Ces reactions se déroulent dans le cytoplasme de la cellule au cours de ces reactions le glucose va etre coupé et a l’issue de ces coupures l’ATP va etre produit ainsi que des electrons et des protons ( H+ ). Ceux-ci ne peuvent rester libres dans la cellule sous peine de la détruire. De plus ils sont utiles pour fabriquer de l’ATP dans la chaine respiratoire. Il faut donc des transporteurs d’électrons et de protons des NAD ( nicotinamide adenine dinucléotide )….

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  • Descartes
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    Chez Descartes, la passion est passivité, aveuglement, domination des sens. Elle s’oppose donc à l’action, à la clairvoyance et à la liberté ; elle est faillite de la raison. Descartes a néanmoins défendu l’existence d’une telle liberté d’indifférence, mais a essayé de lui donner un fondement plus assuré. L’indifférence est « l’état dans lequel est la volonté lorsqu’elle n’est pas poussée d’un côté plutôt que de l’autre par la perception du vrai et du bien ».….

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  • la liberté peut elle etre total
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    La liberté devrait se définir comme un état d’indépendance et d’absence de contraintes. On ne doit se sentir ni prisonnier, ni sous le joug de quelqu’un ou de quelle que chose . Par une étude, nous avons alors établit des liens avec d’autres concepts tels le déterminisme, théorie selon laquelle tout événement se produit sur un principe de cause a effet. Dans un premier temps, tout homme doit se sentir libre dans le but d’être maitre de lui-même, de s'auto gérer et d’avoir ses propres valeurs, faisant de lui son propre caractère . Néanmoins, il existe certaines limites, extérieures tels les lois comme les lois imposées par la société dans laquelle nous vivons pour pouvoir s'intègré au sein de cette société , comme intérieurs tels les besoins fondamentaux du corps humain exemple manger ou boire qui est un besoin vital.….

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  • Les techniques nous libèrent-elles ou nous asservissent-elles ?
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    Autrement dit, peut-on se contenter d’une vision de la liberté comme augmentation de puissance ? Est-ce que les techniques qui étaient pour les Homme un moyen de se libérer, les a en fin de compte rendu esclaves d’autre chose ? Si les Hommes sont les seuls à être à l’origine de ses techniques, alors c’est eux qui ont eu la liberté de choisir leur nouvelle dépendance ? Les questions posées apportent un regard nouveau sur ce que les Hommes ont mis du temps à créer pour arriver à un but qui enfin de compte pourrait-être entravé.….

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  • Peut-on être plus ou moins libre ?
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    Cette citation peut prendre une tournure philosophique avec Spinoza, selon lui, l’homme peut se libérer en agissant sur ses passions grâce à la compréhension de lui-même. La liberté serait donc une puissance qui doit être déployée. Ce serait donc avant tout changer la manière dont le monde nous affecte et « bien juger ». Quelles sont les différentes visions de la liberté et quels en sont ses différents degrés ?….

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  • Ma liberté commence elle la ou s'arrete celle d'autrui ?
    1046 mots | 5 pages

    N’est-ce pas autrui qui donne un contenu à ma liberté ? La liberté doit-elle avant tout être définie comme relevant du politique ou du social (définie par des droits et délimitée par des devoirs à l’égard d’autrui), ou au contraire renvoie-t-elle avant tout l’individu à lui-même et à ses propres possibilités ? Peut-on vraiment dire que ma liberté s’arrête là où commence celle d’autrui ? Est-ce qu’elle n’y trouve pas plutôt, à condition de la respecter, l’occasion de toutes sortes de possibilités ?….

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