La liberté
On peut trouver beaucoup de terme et de définitions pouvant définir ce qu'est « être libre », être libre c'est pouvoir exercer sa volonté en agissant ou en n'agissant pas; c'est avoir un libre arbitre; c'est celui qui n'est pas en captivité; etc. Mais le sens commun qui revient le plus souvent est qu'être libre c'est d'avoir une absence de contraintes. On peut alors se demander si vraiment, être libre c'est vivre sans contrainte,
Cette question se pose en effet parce que nos conceptions de la liberté varient d'un homme à l'autre et que beaucoup d'entre nous pense néanmoins que la liberté c'est l'absence de contraintes, d'obstacles, la vie facile, le plaisir de vivre.
Dans quelle mesure est-il juste de voir la liberté ainsi et du coup de chercher une liberté de ce type ?
Quelle représentation et quelle forme de liberté est-il préférable de se faire et de suivre.
Il est vrai qu'il est possible de penser qu'être libre c'est le fait de vivre sans entraves.
En effet, dans l'histoire on observe toujours une ambiguïté au sujet de la liberté, par exemple la société grecque antique a toujours considéré la tempérance (vertu qui éloigne des excès) en tant que modération des vices et des désirs, de la démesure et maîtrise des passions, comme vertu jouant un rôle important dans l'action humaine. Toutefois, certaines figures de cette société affirmaient que la tempérance résultait de l'incapacité d'un homme à vivre dans l'intempérance, c'est-à-dire à vivre sans contraintes, assouvissant ainsi tous ses désirs. Mais la liberté n'est-elle pas d'abord ce pouvoir que rien ne contraint: pouvoir d'une existence, ici et maintenant, capable de désirer et, en conséquence, de se mouvoir, de fuir, dire non, par un déplacement physique ou un rêve et d'adhérer à ce qu'on veut. Être devient alors synonyme d'exister et donc chargé d'une liberté.
De plus, on remarque que la liberté au sens courant du terme est ce