La métamorphose

La métamorphose ici représente le changement qui s’opère dans le corps d’un homme ou d’une femme. Mais il n’y a pas seulement le changement physique que nous pouvons observer, l’état d’esprit du personnage change aussi, d’une certaine façon. Tout autour ce qui se trouve autour de lui se métamorphose en quelque chose de neuf, de beau, ou bien en quelque chose de laid et de répugnant. Nous verront avec les prochains livres présentés les différentes sortes de métamorphose possible, mais aussi se qu’elles entrainent dans l’environnement du personnage affecté.

Premièrement, voici une brève présentation des œuvres du jour ; pour commencer, il y a « La métamorphose » de Franz Kafka. Cet auteur est l’un des écrivains le plus reconnu du XXe siècle dont l’œuvre résonne très fortement aujourd’hui. Il a écrit ce livre en 1912 alors qu’il était fonctionnaire à Prague, sa ville natale. C’est aussi dans cette période qu’il est en conflit très violent avec sa famille, qui l’accuse de vouloir brider son travail d’écriture. Il se met à maudire son père, qu’il qualifie de tyrannique. Il est ainsi facile de comprendre que la naissance si on peut dire de l’œuvre est dû à cette haine que Kafka portait à ses parents. Ensuite nous avons « Rhinocéros » d’Eugène Ionesco. Nous parlons ici du célèbre représentant du théâtre de l’absurde, qui passa la majeur partie de sa vie à voyagé entre la France et la Roumanie, son pays de naissance. Il écrivit cette pièce en 1959. Elle est généralement interprétée comme une métaphore de la montée des totalitarismes à l’aube de la Seconde Guerre mondiale et aborde les thèmes du conformisme et de la résistance. Puis, pour terminer, « Truismes » de Marie Darrieussecq, écrivaine et psychanalyste française. Il fût publié en 1996 et connu un vif succès. C’était le premier roman de cette auteure, vendu à plus de 300 000 exemplaires et traduit dans une trentaine de langues.

Maintenant, un bref résumé de chaque œuvre vous permettra de