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La norme et les limites de la littérature

544 mots 3 pages
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Du mot à la littérature…entre normes et rupture : synthèse
Présenter la problématique de l’intro :
Le langage est une norme, une habitude, c’est un outil de communication, pour communiquer on a des mots en commun.
Le langage -> vecteur d’intégration sociale.
En résumé : Le langage = normes, règles à suivre
Pour se comprendre
Pour s’intégrer socialement
Si on refuse la norme, on est en rupture avec la norme.
Certains auteurs se sont servies de ces ruptures pour en écrire des textes, il ne suivra pas les normes.
Expliquer la notion de signe et son arbitraire :
Le signe (mot) composé de 2 facettes : *signifiant *signifié
*signifiant : Face matérielle du signe (prononciation, ortho, gestes..).
*signifié : Concept (ce à quoi l’on pense quand on dit un mot), réalité.
Il n’y a pas de lien logique entre mot et réalité qu’il désigne (convention communicative) ni entre le nom et l’objet.
Le concept est différent pour chaque personne.
Pas de lien logique entre signifiant et signifié.
La réalité s’impose dans notre langage.
Les mots ont un pouvoir lorsqu’on les mets en réalité.
Il n’y a pas de mot plus beaux ou moins beaux , plus poétique ou moins poétiques que d’autres, ils le deviennent grâce à leur contexte. On se réfère à la réalité (image) ( choucroute >< chocolat )
Poésie = jeux par le langage

Présenter la problématiques abordées par :
Marthe robert
M. Robert nous pousse à réfléchir à l’emploie euphémismes que nous utilisons pour cacher une réalité négative.
Cela soulage aussi la conscience collective ainsi que les personnes concernées mais dans la réalité rien ne change.
Nous pensons que le mot qui désigne une REALITE EST CETTE REALITE -> nous oublions donc que les mots sont arbitraires.

Le Clézio
Il explique que nous sommes envahis par les mots, et qu’ils sont réponses à nos désirs, problèmes. Hors les mots ne viennent pas forcément combler une attente.
De plus ils

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