Depuis que le monde est monde la femme est la productrice des générations. Elle est la mère, la grand-mère, l’épouse et la fille. Jadis, son unique rôle était de s’occuper des enfants et de tisser le cocon familial. Durant la période préislamique (El Jahilia), la femme arabe n’avait aucun droit ; et pour les hommes à cette époque, elle n’existait que pour s’astreindre aux besoins. Elle était pour eux « un stigmate opprobre », et ainsi, lorsque qu’une fille venait à naître, elle était bien souvent inhumée vivante.

L’Islam a apporté beaucoup de bénéfices pour la femme. Il a exigé de bien la traiter et de la considérer comme ayant des droits et des devoirs. Elle peut sortir, travailler et progresser.

La femme musulmane peut donc réaliser de grandes choses dans sa vie : elle peut être médecin, femme d’affaire, chercheuse, et même ministre. La femme est ainsi en mesure de beaucoup donner à la société arabe.

Mais hélas la situation de la femme reste floue, bien que la question féminine a été au cœur des débats dans le monde arabe pendant des siècles, parfois battue et souffrante. Pourtant beaucoup savent qu’elle peut être moteur au développement. Même si on ne peut pas nier la place que la femme occupe actuellement, il existe encore beaucoup de formes d’injustices à son égard.

D'ailleurs, dans le monde occidental, la femme arabe souffre bien souvent de discrimination. Une musulmane ne peut que difficilement y pratiquer ses croyances. Le foulard, par exemple, est bien souvent mal vu, et nombre de gens ignorent que la femme le porte sur sa tête et non sur son esprit !

A la fin, on peut dire l’Islam veut que la femme soit à la hauteur dans nombre de domaines ; et donc on ne peut qu’espérer que plus d’attention lui soit prêtée afin de ne pas oublier qu’elle est tout simplement incontournable