À l’époque du Moyen Âge, il est bien évident que la femme ne possédait pas le pouvoir dont elle a droit aujourd’hui. Sortie de l’Antiquité Grec, où elle était constamment sous surveillance d’un homme, puisqu’après avoir été sous le contrôle de son père tout son enfance, elle devait obéir à son mari et une fois que celui-ci était décédé, c’était au tour de ses fils à obtenir le pouvoir sur elle. Les choses n’ont pas changé du jour au lendemain. Au Moyen Âge, nous retrouvons un contrôle absolu du mari sur son épouse. La femme doit se soumettre à des critères sévères afin de ne pas faire face au mécontentement de son époux. Elle doit souhaiter être très fertile afin de remplir les exigences pour lesquelles, selon la société masculine, elle a été mise sur terre, c’est-à-dire assurer la descendance de son mari. Cependant, bien que la femme ne représentaient pas un être d’une importance égale à celle de l’homme, et même loin de là, quelques changements se sont opérés du côté de la participation de la femme dans le travail servant aux rémunérations de la famille. Nous observons également une différence considérable entre les femmes de la noblesse et celles des rangs inférieurs. Les jeunes filles ayant, un jour, droit à un héritage plus important, étaient exposées à des règles plus rigoureuses, dont l’interdiction de parole lors du choix de son futur mari, qui se faisait qu’entre les parents des futurs époux. Les femmes aristocrates n’agiront pas comme les femmes du peuple avec leur enfant, elles y seront davantage détachés, les éloignant donc du sentiment maternel. Les femmes n’occupaient toujours pas une place de choix dans la société, et continuaient d’être traité injustement face au sexe opposé, par contre, quelques petits changements tentaient de se tailler une petite place.

L’âme des femmes
Une légende selon laquelle les hommes du Moyen âge ont cru que les femmes ne possédaient pas d’âme se fit entendre. Cependant, il ne s’agit que d’un mythe. Celui-ci commença