De « Il parut alors une beauté à la Cour, ... » à « … pleins de grâce et de charmes. »

•Introduction: On est dans le début du roman. On est à la Cour d'Henri II. On y voit les côtés de la galanterie, … Le texte porte sur le portrait de mademoiselle de Chartres. On a l'impression d'avoir un personnage parfait dans un monde parfait.

•Problématique: Cette apparence parfaite ne conforte-t-elle pas des failles ?

I- Le portrait de l'héroïne avoisine la perfection A) La 1ère perfection énoncée est celle de sa beauté.
Absence de description au début, mais cette beauté existe quand même puisqu'elle donna de l'admiration. Elle attire les yeux de tout le monde. Comparaison avec les autres belles filles. Métonymie « les yeux de tout le monde », car on désigne les gens de la Cour par leurs yeux. « il fut surpris de la grande beauté » → on passe de du général au particulier. Plan général → gros plan. On commence à avoir des détails sur sa beauté à la fin de l'extrait: blancheur du teint, et cheveux blonds. On a l'impression d'un personnage angélique avec la pureté des teints pâles. Hyperbole: « un éclat que l'on a jamais vu qu'à elle ». Harmonie de l'ensemble: « tous ses traits étaient réguliers ». Elle a une silhouette attirante « son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes ». Mais ces détails restent imprécis.

B) Son statut social est irréprochable.
Sa filiation est prestigieuse « même maison que le Vidame de Chartres ». Elle vient d'une famille fortunée « une des plus grandes héritières de France » (marqué par un superlatif). Sa mère aussi paraît être une personne de qualité, et de mérite, elle a élevé sa fille toute seule et semble lui avoir fait une éducation parfaite. Son statut social lui a valu plusieurs propositions de mariage « déjà proposé plusieurs mariages » → on l'avait déjà remarqué avant d'aller à la Cour. Sa mère est fière de son nom et veut un mariage qui puisse l'élever encore et non rabaisser sa famille « ne trouvait