Ce poème a été écrit en 1905, en s’inspirant du voyage que Guillaume Apollinaire a effectué à Londres cette année-là pour y retrouver sa bien-aimée, Annie Playden. Ce texte est donc un empreint de cet échec amoureux.
On observe une écriture plutôt régulière, avec des alexandrins composés notamment d’octosyllabe et hexasyllabe.
L’ensemble du poème constitue le récit d’un homme qui quitte l’Europe pour rejoindre sa bien-aimée en Amérique, ce qui réfère à sa propre expérience.

Ce poème a été écrit en 1905, en s’inspirant du voyage que Guillaume Apollinaire a effectué à Londres cette année-là pour y retrouver sa bien-aimée, Annie Playden. Ce texte est donc un empreint de cet échec amoureux.
On observe une écriture plutôt régulière, avec des alexandrins composés notamment d’octosyllabe et hexasyllabe.
L’ensemble du poème constitue le récit d’un homme qui quitte l’Europe pour rejoindre sa bien-aimée en Amérique, ce qui réfère à sa propre expérience.

Le titre « Landor road » correspond au nom de la rue où vivait Annie Playden, sa bien-aimée.
On peut voir des connotations sentimentales : « ces rues que j’aimais ».
Guillaume Apollinaire fait également référence à son statut de poète : « prairies lyriques / crachats d’or fin » : il associe ainsi l’aspect créatif à la conception financière, c’est un des traits de la modernité de ce recueil, il fait de nombreuses fois appel à l’argumentation.

Ce poème a été écrit en 1905, en s’inspirant du voyage que Guillaume Apollinaire a effectué à Londres cette année-là pour y retrouver sa bien-aimée, Annie Playden. Ce texte est donc un empreint de cet échec amoureux.
On observe une écriture plutôt régulière, avec des alexandrins composés notamment d’octosyllabe et hexasyllabe.
L’ensemble du poème constitue le récit d’un homme qui quitte l’Europe pour rejoindre sa bien-aimée en Amérique, ce qui réfère à sa propre expérience.

Le titre « Landor road » correspond au nom de la rue où vivait Annie Playden, sa