La souffrance et les connaissances
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Philosophie Accroitre sa connaissance est-ce accroitre sa souffrance? « Accroître sa science, c'est accroître ses douleurs », cette réflexion tirée de l'Ecclésiaste nous montre une vision pessimiste de la connaissance. La connaissance un terme souvent utilisé dans le langage courant a posé pour les philosophes contemporains multiples questions et problématiques. Ici la connaissance définit représente toutes les formes de connaissance tel qu'apprendre, étudier, connaître , savoir , expérimenter. Alors pourquoi cette connaissance dite positif accroîtrait notre souffrance? Existe -il un lien entre notre connaissance et la souffrance? La souffrance est-elle physique ou mentale? Ce questionnement nous permet alors de remettre en question la valeur donnée à la connaissance. On pourrait se dire que l'extension de ma connaissance n'engagerait pas une souffrance. En effet nos premiers ancêtres ont dû accroître une connaissance afin de survivre dans un milieu hostile. Ils ont alors développé une connaissance empirique. Cette connaissance défendu dans le XVIIe et le XVIIIe siècle par Loche et Hume définit que toute notre connaissance provient de nos expérience, des sensations. A la préhistoire déjà, nos ancêtres ont grâce à cette connaissance dite empirique sût évoluer, mieux se nourrir et atteindre un meilleur confort. En effet la première découverte importante fut celle du feu. Elle a permit à ces hommes de cuire leur nourriture et donc d'avoir une meilleur hygiène de vie. De plus, plus tard ils ont acquis des connaissances tels que les fabrications de lances, d'habitation par des découvertes et des expériences qui ont favorisé un confort de vie. Au jour d'aujourd'hui la connaissance empirique nous permet à nous qui dès lors de notre naissance n'avons tout un savoir innée, de nous protéger de certains risques. Par exemple lorsque que je me brûle sur du feu, notre connaissance empirique nous empêche alors de refaire cette même action car on a conscience