La tricherie au milieu scolaire
Introduction
Imaginez que vous soyez dans une interrogation de mathématiques et que vous soyez coincé dans une question. Dans votre tête, vous n'arrivez plus à réfléchir car l'idée de rater vous hante l'esprit. En effet, si vous échouez, vous savez que ce sera le cauchemar à la maison : la maman qui crie et papa qui est en colère à la vue du 0 rouge dans votre bulletin. D'un coté, l’échec. De l'autre, la copie de votre voisin qui vous nargue. La tentation est grande, très grande.
La triche, on en parle peu mais elle est omniprésente et surtout à l’école elle n'est pas un phénomène de mode ou un événement récent. Elle existait surement de la préhistoire jusqu'a l'antiquité, du moyen âge jusqu'a maintenant. Et ce n’est pas demain que ca s'arrêtera.
. Selon une enquête, 85% des étudiants pratiquent la triche occasionnellement ! Qui peut, en effet, affirmer ne jamais avoir lorgné sur la feuille du voisin ? Mais est-ce une raison pour l'accepter et même la banaliser, parce que finalement, tout le monde y gagne ? Les mentalités ont-elles tellement changées au point qu'il est permis de recourir la tromperie pour obtenir les résultats souhaités ?
I. Pourquoi est-ce qu’ils trichent ?
II. Quand est-ce qu’ils trichent ?
III. Les différentes méthodes
IV. La règle / les sanction
Définir le problème
Tricher, c'est enfreindre les règles, selon le Petit Larousse. En latin, tricare signifie soulever les difficultés. Mais c'est aussi se mentir à soi-même car on croit qu'on a bien réussi ; c'est se conduire avec mauvaise foi car on trompe le professeur ; c'est enfin, une marque de manque de confiance en soi car on pense qu'on ne peut y arriver autrement. Il existe, certes, plusieurs types de tricheries. Mais que ce soit un vif coup d'œil sur la feuille du voisin, quelques formules notées sur un bout de gomme ou l'usage d'antisèches cachées dans les vêtements ou le kit , cela reste une attitude