La violence en classe
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La Violence dans la classe
Eric Debardieux
Présentation d'Eric Debardieux
Docteur en philosophie, il a d’abord été éducateur, puis instituteur spécialisé, puis chargé de cours en université. Il est ou a été responsable nationale de L’Institut coopératif de L’Ecole Moderne-Pédagogie Freinet. (impossible de savoir ce qu’il est aujourd’hui, si quelqu’un trouve...)
Eant = enseignant
Eé = enseigné I-Le phénomène violence La violence dans la classe n'est ni un phénomène marginal, ni un phénomène lié aux insuffisances d'individus incapables. La violence est un problème éducatif comme les autres.
Si fréquente que peut-être la violence, elle est strictement interdite dans l'école française : un arrêté du 26/01/78 précise "qu'aucune sanction ne peut être infligée [à l'école maternelle]. Seul est autorisé l'isolement sous surveillance d'un enfant momentanément difficile pendant un temps très court nécessaire à lui faire retrouver un comportement compatible avec la vie du groupe". De même au niveau de l'école élémentaire : "tout châtiment corporel pour quelque cause que ce soit est interdit. Aucune sanction ne peut être infligée à un élève pour insuffisance de résultat." Dès l'arrêté de janvier 1887, les châtiments corporels étaient interdits par la loi.
Les textes officiels et manuels de pédagogie affirment que le "bon maître saura créer dans la classe un climat de confiance et le calme nécessaire à un travail harmonieux des élèves." Ce mythe du bon maître et de l'autorité fait des ravages. La formation des enseignants fait une totale impasse sur les problèmes