« La souveraineté est le pouvoir de commander et de contraindre sans être commandé ni contraint » (les Six Livres de la République 1576) . A affirmé le théoricien du droit Jean Bodin, qui était pour légitimer le pouvoir exclusif de la famille royale. « La souveraineté est le pouvoir de commander et de contraindre sans être commandé ni contraint » (les Six Livres de la
République 1576) ».
A affirmé le théoricien du droit Jean Bodin, qui était pour légitimer le pouvoir exclusif de la famille royale. …afficher plus de contenu…

L'Histoire des parlements sous Louis XIV reste encore largement limitée au parlement de Paris , développant l’image traditionnelle de parlements muselés.
“Son autorité” ( l.22).
Il s’agit en effet d’un exemple significatif, car cette cour rebelle avait été, au tournant du XIIIe siècle. Elle est donc étroitement surveillée par la monarchie traduisant une sévérité royale.
La justice et la raison sont les deux moteurs de cet avis.
Dans tous les discours du roi Louis le grand, on trouve toujours cette idée d'union commune pour conserver l’Etat .
Un lien étroit entre justice et Etat ; représenté par la figure royale. À la ligne 22 , il est mentionné “; ainsi, après que “nous avons” affermi l’autorité …afficher plus de contenu…

Ce seul point posait en lui-même problème.
Les divergences interviennent en fait dans la façon d’exercer ce droit et les domaines d’exercice de cette compétence.
En effet, la monarchie avait toujours développé du droit de remontrances une acception technique, voire technicienne, les parlements ne devant intervenir qu’en tant que professionnels du droit, dans le sens d’une bonne administration de la justice. Le roi comme les parlements avaient conscience de l’existence d’un « ordre juridique supérieur qui s’impose à tous