La troisième voie et la tragédie des communs
Le principe de troisième voie est né en Angleterre lors des mouvements des enclosures. La notion de troisième refait apparition dans une revenu scientifique écrite par Garrett Hardin. Dans son article, il prend l’exemple des ressources naturelles qui sont accessibles à tous et qui restent des biens rivaux non exclusifs. Mais vu que tout le monde se sert, on assiste à une surexploitation qui ruine l’aquaculture et l’ensemble de la communauté. Il suggère donc une troisième voie qui serait entre l’état et le marché. On peut parler d’une voie centrale regroupant les biens privatifs et collectifs. En effet, depuis l’essor numérique, Internet est devenu un nouvel endroit des communs, avec des sites soutenus exclusivement par des communautés. (Wikipédia, Firefox, Linux.) On peut parler des communs de …afficher plus de contenu…
Elle engage une réflexion sur l’utilisation sociale des biens communs pour créer de la richesse. Nous vivons de plus en plus dans une ère numérique avec une accessibilité aux connaissances illimité grâce à internet et des communauté sur le web qui permettent à une communauté d'exécuter le logiciel, en prendre exemple ou le modifier complètement librement ou même l'améliorer.De plus on peut aussi utiliser l’exemple des “Mods” qui sont autorisés par certains développeurs de jeux vidéo où ils autorisent la communauté de modifier des fichiers du jeu pour améliorer ou changer l’expérience du jeu. On peut donc dire que l'open source favorise l’innovation.Ceci dit, la crédibilité des communs reste encore mal vue dans la sphère politique et