La vie d'Adèle
En sortant de la boulangerie, je dis bonjour au clochard et lui exprime ma fierté d’avoir acheté mon pain « hé le clodo ! j’ai pas de thune aujourd’hui, j’ai acheté mon pain ! »Arrivé chez moi je m’accroupie face à ma mère, j’éteint la télé, « mam’ aujourd’hui j’ai compris ta leçon ! Je vais te mettre à l’asile et vivre ma vie ! » Ma mère ouvrit ses yeux, puis les referma tendrement en me demandant de rallumer la télé maintenant.Je déposais maman à l’asile le lendemain, ce n’est pas que je ne l’aimais pas mais elle était trop imposante pour moi, elle mangeait trop, parlait trop et fumait trop !A ce moment là, je décidais d’aller vivre loin de ce pays pluvieux !En Amazonie !Arrivée …afficher plus de contenu…
J’ai reçu un télégramme de l’asile « mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués ! » Je n’y suis pas allé ! Je ne l’aimais pas !Après des années un sentiment de vide s’éprit de moi. Quelque chose que je n’aurai jamais imaginé se produisit. J’ouvris mon ordinateur, barre de recherche, un mot : « TITANIC » ; J’étais amoureux !Je sortie mon paquet de cigarette et les fuma jusqu’à la dernière.Plupluche me regarda, me lécha les orteils puis fit un arrêt cardiaque ! Ça non plus je ne l’ai jamais vraiment compris...Il était vieux Plupluche. Il m’accompagnait depuis si longtemps ! il était brave mon Plupluche. Souvent quand il me ramenait une bière au lieu du journal, je lui disais « tu es brave mon Plupluche ». Il est brave, il est brave, bon