L'affrontement des étudiants extrémistes, dans les années 1960
De plus, la dernière partie de son étude est, elle, 2 sociologique puisque qu’il y fait une analyse sociologique de pourquoi ces affrontements d’étudiants·es extrémistes ne seraient plus possibles aujourd’hui.
Le texte est structuré en deux parties mais la deuxième partie est elle-même divisée en deux. La première partie intitulée « La guerre d’Algérie comme matrice » porte sur la naissance des groupuscules extrémistes de droite et de gauche mais surtout de droite. Il y explique la refonte des groupuscules néo nazis en groupe nationaliste ainsi que les individus à l’origine de ces groupes (par exemple le groupe de Dominique Venner) qui finissent …afficher plus de contenu…
Cela montre peut être une
« politisation » des étudiants.es après des évènements historiques importants. Lebourg se focus donc sur les affrontements violents entre les groupuscules étudiants.es issu en majorité des paries communistes et les groupes fascistes cités plus haut. Il explique que chaque groupes à sa propre manière d’être violents et ils s’en servaient aussi comme une sorte de publicité pour leur groupe. Les affrontements se sont un peut calmés, apparemment grâce à un 3 accord passé entre les représentants des deux « parties », Goldman et Duprat. Mais malgré ça, les violences ne cessent de croitre jusqu’à mai 68, des violences surtout présentent chez