LL2 : L’aveuPrésentation de l'œuvre : La princesse de Clèves de Madame de La Fayette est considéré comme le roman qui a fixé les codes du genre romanesque. Paru en 1678, le roman raconte l’histoire d’une jeune princesse et de M. de Nemours qui vivent les déchirements d’un amour mouvementé et rendu impossible par le poids des convenances sociale et morale Présentation du texte : L’extrait de notre étude correspond au passage de la scène de l’aveu de Madame de Clèves …afficher plus de contenu…

Elle ne souhaite pas être auteur. Problématique : Quelle est l’originalité de cette scène d’aveu ? Annonces: Notre étude poursuivra la progression suivante : -Tout d’abord, nous porterons notre attention sur un 1er passage qui s’étend du début jusqu’à “trompe pas”, qui met en évidence l’introduction/ 1ère étape de l’aveu. -Le 2ᵉ passage consacré à l’aveu tirade de la Princesse de Clèves s’attardera de “-Eh bien” jusqu’à “si vous pouvez”.-Enfin la dernière partie de l’extrait sera consacré à la réaction de Monsieur de Clèves. --Analyse du texte: I) La première étape de l’aveu Start prétérition : Cela donne le ton de cet aveu très subtil et très bienséant, où rien n’est dit de façon claire.<<Plusieurs fois le dessein>> : …afficher plus de contenu…

Le narrateur insiste sur l’originalité de l’aveu, scène centrale du roman, qui sera justement le passage qui a semblé le plus invraisemblable ou le plus choquant pour de nombreux lecteurs du XVIIe Siècle. 2)Sentiments de la PDC évoqués de façon détournée par 2 périphrase (l11-12). PDC va demander à son propre mari de remplir le rôle religieux de <<directeur de conscience>> (l-14, cf. l.18). 3)Courage de sa démarche avec répétition insistante de “prendre”. 4) Hyperbole: <<mille pardons>>, suivie par un chiasme complété par une antithèse. Cette phrase très rhétorique sert à rassurer le prince. 5) Hésitation de la PDC durant la dynamique de l’aveu, “estime” et “amitié” sont les sentiments de la PDC envers son mari, Vocabulaire Précieux. Elle ne ressent pas d’inclination.