Peut-on dire, comme le chef des Tahitiens de Diderot dans le Supplément..., que le bonheur consiste à mettre tout en commun ?

Aimer, être aimer, s’amuser, faire du bon travail et en être félicité, faire des trouvailles et compléter ses idées, exciter ses sensations et faire impression,… être heureux, tout simplement. Chacun définit son bonheur comme il l’entend et chacun est satisfait avec quelque chose de différent mais moi, je choisis de vous présenter celle du dictionnaire… Il s’agit d’un état heureux et de bien-être. Certes, c’est une définition très générale mais qui convient absolument à tout le monde. Certains aiment avoir une seconde formulation du sujet afin d’être sur le même chemin que moi. En voici une : Partager, serai-ce le facteur majeur de la béatitude ? C’est ce que nous allons voir… Je vais donc me baser sur le texte de Diderot pour disserter sur le bonheur, vaste thème mais au combien sollicité. Je vais utiliser plusieurs exemples et argumenter mes points de vue sur ce sujet, sans oublier que je ne suis pas seul et ainsi chercher les possibles contre-exemples.

Personnellement, je pense qu'une mise en commun des choses essentielles de la vie courante peut signifier le bonheur, mettre tout en commun supprimerait en tout cas la jalousie. En effet si tout le monde a la même chose, on ne veut pas ce que le voisin a. Je m'explique :
Actuellement, le monde marche comme une compétition permanente, c'est-à-dire que les gens veulent toujours être plus puissant, plus intelligent, avoir plus d'argent, être supérieur. Ca va donc entrainer des querelles et cela n'aboutit au bonheur que du vainqueur et lui seul, alors que les autres se font dominer. Je vais prendre un exemple pour être plus clair... Lors de la guerre en Irak, le président américain disait que son armée se battait là-bas pour