Le bonheur
Emile Zola, Nathalie Sarraute et Georges Perec sont des écrivains qui se sont jetés sur la question du bonheur dans les textes Au bonheur des Dames, Tropismes et Les Choses qui concernent le XIXème et XXème siècles et le mouvement naturaliste. Ce corpus, fait de ces trois textes, se propose donc d'aborder un aspect dénonciateur du thème ''bonheur''. Ainsi, nous analyserons dans un premier temps, en quoi ces extrais mènent a prolonger notre réflexion sur le bonheur et ensuite expliquer comment cela est possible après avoir fait le rapprochement entre ces trois extrais.
DEVELOPPEMENT
1)Ces trois extrais qui abordent le sujet du bonheur, se rapprochent entre eux par le fait que les auteurs décrivent les humains comme consommateurs obsédés. En effet, les extraits écrits entre le XIXème et Xxème siècles concernent l'époque des Révolutions, de nouvelles technologies et donc la découverte de nouveaux marchés. Dans chaque extrait, des descriptions détaillés y sont exposées. ''Des femmes pâles de désir'' (Zola),''Ils semblaient sourdre de partout'' (Sarraute) : les auteurs comparent les hommes a des zombies affamés. De plus Sarraute fait un enchaînement de verbes à l'imparfait qui font accélérer le texte ''ils semblaient, ils s'écoulaient, ils s'étiraient, ils formaient, ils regardaient, ils restaient'' ; pareil pour Perec, mais lui fait un enchaînement de noms de boutiques ,qu'après une lente présentation, font grimper le texte ''antiquaires, libraires, marchands, chemisiers...''. Zola à également recours à ce mode de description en parlant de des différents tissus dont le magasin de Mouret compose. Cependant, les textes ont aussi un passage qui est lent ; ''ils marchaient lentement'' (Georges), le dialogue entre Mme Boudelais et Mme Desforges qui coupe l'extrait de Zola. Avec tout ceci, le lecteur a l'impression que le texte est long et par ces textes le lecteur se met en place dans le monde des magasins étouffé par la foule.
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