Méthode : travailler la question sur corpus avec l’objet d’étude « La question de l’Homme… »
Rappel pour tout objet d'étude : pour la q. , faire la carte d’identité du corpus : genres, contexte… > cela aide à avoir une vision d'ensemble, une idée de la réponse à formuler, et cela vous donne une matière prête à être rédigée pour l'introduction.
La question porte sur une comparaison des textes ? (ex. : sujet sur la dénonciation de la guerre, DST de février) :
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Repérer la thèse : une condamnation de la guerre > introduction
Repérer les arguments > 1
Identifier, caractériser la manière dont ces arguments sont formulés > 2

Attention, un tel plan (arguments, procédés) peut donner l'impression qu'on va séparer le fond et la forme. Ce n'est pas le cas : en 1, si on évoque, parmi les arguments, celui qui consiste à dénoncer les horreurs de la guerre, on le fera en soulignant l'importance, dans tel ou tel texte, du lexique de la mort et de la violence. En 2, si l'on évoque, parmi les procédés, le recours à la fiction, on pourra montrer que, dans le conte philosophique Candide, le lecteur est invité à reconnaître son propre aveuglement dans celui du héros, pour mieux s'en défaire. Exemple d'intro (sujet de DST de février)
Notre corpus comprend quatre textes, d’époques et de genres différents : un extrait des
Caractères de La Bruyère (1696), recueil de maximes et de portraits, un passage du conte philosophique Candide de Voltaire (1759) , l’article « Paix » de Damilaville, dans l’Encyclopédie (1761) et une scène de La Guerre de Troie n’aura pas lieu de Jean Giraudoux
(1935). Tous condamnent la guerre. Nous allons les comparer en examinant d’une part les arguments en présence, et d’autre part la forme particulière retenue par chaque auteur.
Conclusion (bilan puis ouverture vers le travail qui suit)
En conclusion, la condamnation de la guerre s’exprime ici de manière extrêmement variée, mais toujours efficace, dans la mesure où le lecteur ou