Le droit romain en Gaulle
I. Les caractères principaux du droit romain.

A. Un droit individualiste

L’individu est considéré comme un individu autonome. Il est individualiste en matière de propriété, il connait depuis des siècles les plus reculés la propriété individuelle du chef de famille : Pater Familias. Cette conception a été transmise par les humanistes des 15 et 16s et redeviendra l’une des bases juridiques de l’individualisme qui triomphe au 18s. Ce droit est individualiste au niveau de la famille. La très forte structure familiale, de l’époque républicaine c’est progressivement dégradé et les différents membres de la famille ont obtenu une indépendance juridique, malgré tout le père conserve autorité sur ces descendant pendant toute sa vie. Il est individualiste par sa conception du mariage, selon le droit romain le mariage est conclu par un accord de volonté des époux. Ce mariage peut être aisément rompu par les deux époux, ou par l’un d’eux. Les deux époux conservent des patrimoines séparés. La femme mariée peut gérer ses biens en pleines indépendance. Cet individualisme du droit romain s’accompagne d’une tendance marquée d’une prépondérance de l’homme ce qui est logique chez un peuple de guerriers. Cette prépondérance de l’homme est présente dans le droit romain. Le droit romain est rationnel et savant.
De très nombreuses modalités sont destinés à fixer les modalités, les plaideurs ce qui fait que ces personnes ont besoin de juristes professionnel.

B. Droit émanant de l’autorité publique
Sous l’empire les diverses sources du droit (lois, coutumes, édits des magistrats : au sens moderne du terme) sont remplacés par une législation impériale de plus en plus abondante. Ce droit applicable aux habitants libres de l’empire va être recueilli dans des compilations transmises aux sociétés médiévales.

II. Les sources du droit dans l’empire romain.

L’empereur est la loi vivante donc il assure la fonction législative. On appelle lois : leges