Le fils prodigue
L’époque est imprécise, on devine que le récit a lieu dans l’Antiquité en Orient, par les champs, les mercenaires, les robes, etc., mais surtout, car c’est un récit de la bible. Sinon c’est très imprécis. Le personnage du père est sans doute assez riche, comme il a des serviteurs, des robes, des bijoux, etc. en plus de pouvoir festoyer durant une période de famine. Le fils mourrait de faim avec le travail qu’il avait trouvé, donc le pays devait être tout de même assez pauvre. Le « fils prodigue » devait sûrement avoir tout ce qu’il faut pour vivre et plus encore. Comme le fils aîné travaille dans les champs, le cadet avait probablement lui aussi des tâches à effectuer, vivant une vie plus modeste qu’un bourgeois ordinaire. Sachant que son père a une fortune, le goût de luxure lui a pris et l’a totalement aveuglé jusqu’à ce qu’il se rende à l’évidence qu’il ne fallait rien prendre pour acquis.
Ce mythe tiré de la bible va certainement dans la même direction que le texte de « la brebis égarée ». On parle ici du pécheur, perdu, qui retrouve le bon chemin (ce texte est d’ailleurs la dernière partie d’une trilogie, succédée par la brebis égarée et de la femme à la drachme perdue). Le fils texte du fils prodigue est facilement interprétable comme une métaphore religieuse. La phrase « J’ai