Il existe bien une charte du journalisme, qui fixe des devoirs aux journalistes, le premier d’entre eux étant de respecter la vérité, mais leur éthique est confrontée à d’autres enjeux. Cette éthique met tout d’abord en avant le nécessaire respect se la vérité ceux sur quoi s’accorde tous les documents. Cependant, la déontologie quand à elle reste assez floue. En effet, le code éthique peut être altérer par différents acteurs tels que la pression du temps mais également celui de la rédaction ; ensuite l’attraie financier joue aussi son rôle lié au désir de trouver le scoop ; enfin la rédaction exige que le journaliste commente l’information cela met la pression au journaliste. On peut donc en conclure que la déontologie ou le code éthique reste instable où seul le respect de la vérité semble être respecté.

Par ailleurs, on observe de nos jours que le pouvoir politique menace l’éthique du journaliste avec le risque que le journaliste serve la politique des gouvernements. Pour lutter à ce phénomène le journalisme d’investigation semble s’imposer mais on peut la critiquer au nom des règles, car le journaliste contre-passe les droits et devoirs des journalistes.

Cette amélioration de l’image du journalisme n’est pas sans conséquence. Le journaliste est amené à écarter des sujets trop éloignés des préoccupations des lecteurs. Plus encore, le lecteur possède certaines exigences qui compromettrent la déontologie du journalisme car le lecteur est avide de sensation obligeant le journaliste à être un « voyeur » et un « truqueur ». Cependant, le risque est que le lecteur de fasse pas la différence entre la réalité et la fiction.

En conclusion, bien que le journaliste respecte la vérité tant que celle-ci n’est pas troublé par divers pressions ou bien attraie financier. On voit également que la politique peut influencé le journalisme en le détournant pour son propre intérêt, on voit alors l’émergence d’un nouveau type de journalisme au cœur de