-Maccarthysme. C’est l’idéologie qu’il critique dans Farenheit 451. Cette chasse aux sorcières anti-communistes qui handicape des artistes comme Charlie Chaplin qui est contraint de fuir va trop loin pour Bradbury.

-Autobiographies. Bradbury écrit durant toute sa jeunesse, et passe le plus clair de son temps dans la bibliothèque de Waukegan. Il écrit plusieurs récits semi-autobiographiques qui mentionnent cette ville, comme Dandelion Wine.

-Journalisme. Le journalisme est une véritable tradition dans la famille Bradbury. En effet, ses prédécesseurs paternels, notamment son grand père, étaient éditeurs de journaux. Son père casse cette tradition en devenant ingénieur, mais Ray reprend le relai en vendant des journaux dès ses 18 ans dans les rues de Los Angeles.

-Bandes dessinées. Bradbury est, depuis tout petit, un adepte des bandes-dessinées et de leurs super-héros. Son addiction à des héros comme Flash Gordon lui inspire plusieurs nouvelles de science-fiction, notamment Chroniques martiennes qui sera, comme plusieurs autres, adaptée en bande-dessinée par EC-Comics.

-années 50. Les années 50 dont marquées par le grand succès de Ray Bradbury, à commencer par la publication des Chroniques martiennes puis de Farenheit 451 ou encore le scénario de Moby Dick qu’il écrit pour John Huston.

-science-fiction. Ray Bradbury, tout au long de sa carrière, insiste sur le fait que les romans de science-fiction s’inspirent de réel, alors que tous ses récits de fiction ne s’en inspirent pas, à l’exception de Farenheit 451. Ainsi, toute son oeuvre est rangée en trois parties : les autobiographies, les oeuvres fantastiques, et Farenheit 451. Ce dernier, son chef-d’oeuvre absolu, est ainsi mis en valeur de par son statut au sein de l’oeuvre de Bradbury.

-théâtre. Après un succès colossal, Bradbury se tourne vers le monde du théâtre, dans lequel il est plus ou moins introduit par son expérience avec John Huston. Il écrit ainsi en 1963 sa première pièce, Café