Les idées principales. D'abord, le titre de cette collection est important pour comprendre comment « Le Pain » travaille au contexte de la collection. Le Parti Pris des Choses est ironique parce que les choses inanimées ne sont pas capables d'avoir un alignement ou opinion, c'est contradictoire. Alors, en continuation de cette idée, Ponge fait des pièces comme « Le Galet », « Notes pour un coquillage », et « Le Pain ». Ponge restaure la dignité, la dignité poétique à des objets quotidiens.

De plus, les objets que Ponge a choisi sont importants pour leur banalité. Un objet tellement banal comme le pain fourni un bon juxtaposition pour les métaphores et allégories profonds. Ponge a pris des choses tellement banales et les utilise pour exposer la qualité poétique de la vie et la qualité du procès de création poétique. Alors, nous avons deux allégories : Un : la vie, Deux : l'écriture.

Cette pièce se compose de quatre paragraphes en vers libre. Ponge les utilise pour guider-nous le long de la métaphore. Le premier paragraphe est pour l'introduction cinématique du pain. Ensuite, le deuxième paragraphe est pour commencer « la viande » de la métaphore et l'extérieur du pain. Le troisième paragraphe est pour l'exploration de l'intérieur du pain. Et finalement, Ponge brise (la double entente est prévu) la description vivide et il paraît de quitter le métaphore.

D'abord, dans la métaphore, Ponge présent le pain, un objet vraiment banal, avec « merveilleuse », un mot vraiment fort. C'était parce que le pain est la vie, le pain est la création poétique. Ponge crée un sens de la merveille en donner un sens cinématique au poème avec le mot « panoramique » et l'image roulant d'une tournée de grandes chaines de montagnes, qui sont merveilleuses aussi.

Ensuite, Ponge décrit le début du pain, quand il est « amorphe », qui est « en train d'éructer » et « glissé » dans le « four stellaire », et l'application de « la lumière ». Continuant avec le thème des