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Le pouvoir des fable com

473 mots 2 pages
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« Le pouvoir des fables »

Court récit provoquant une impression de légèreté

Cadre
Les six premiers vers : évocation de la situation initiale.
Cadre spatio-temporel : « Athène autrefois…à la tribune » temps non défini « autrefois » ( valeur intemporelle

Rapidité
«courut…fit…vit » passés simples ( rapidité (+ «courut » rejet au v.3 pour accentuer la rapidité)
Hétérométrie accentue aussi la rapidité : v7,11
« Dans Athène » licence poétique pour avoir un e muet et un alexandrin (athènau et non pas athènezau).

Le récit est plaisant pour toucher un public très large

Agréable
La forme propre au poème avec les rimes et les variations de rythme dues à : l’hétérométrie octosyllabe/alexandrins, changements fréquents de type de discours, alternance des temps. Cela rend déjà le texte agréable à lire.

Personnages pas caractérisés : « un Orateur », le O majuscule : perso conceptuel.
Une métonymie désigne les Athéniens (peuple vain et léger) (légèreté

Fable enchâssée
Récit enchâssé (v. 16 au v.20) est une fable : des animaux (une hirondelle et une anguille), absence de cadre spatio-temporel précis, retour à l’Antiquité (Classicisme) : référence à Cérès déesse romaine alors que le récit cadre se trouve à Athènes, en Grèce.
Ce mélange des références n’est pas le fait d’une méconnaissance de la part de l’auteur mais plutôt d’une volonté de légèreté et d’une ouverture à l’intertextualité, très présente dans cette fable.

La morale représente l’idée première des classiques
Étude linéaire pour montrer tout le cheminement de l’Orateur pour amener la morale.

L’Orateur impuissant
Allitérations en R (v.6) pour rendre notamment le brouhaha de l’auditoire dissipé.
Diérèse met en valeur « vi-olence » ; et montre que toute la rhétorique classique est impuissante à capter l’attention du public.
V.9 : Gradation ternaire pour montrer les efforts de l’orateur. V.10 : un alexandrin binaire pour montrer l’inutilité de ces efforts.

v.15 interrogation

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