Le Roman
(1534-1763)
• Récits de voyage : Gabriel Sagard, Grand voyage au pays des Hurons
(1632)
• Journaux
• Correspondances : Marie de L’Incarnation ( 1645-1654),
Élisabeth Bégon (1748-1753)
• Mémoires
• Chroniques : Marc l’Escarbot,
Histoire de la Nouvelle-France (1609)
Écrire pour la nation (1800-1899)
Siècle marqué par les luttes patriotiques, le XIVème siècle témoigne d’une littérature engagée dans laquelle l’identité de la nation veut se définir.
C’est aussi l’essor d’une littérature créative marquée par l’imaginaire folklorique où se mêlent croyances religieuses, légendes du Nouveau-Monde et récits d’aventures et de découvertes de nouveaux territoires.
C’est à cette époque que furent écrits les contes et légendes les plus célèbres : La chasse-galerie, Rose Latulippe, etc.
Écrire pour la nation (1800-1899)
• Philippe Aubert de Gaspé fils, L’influence d’un livre (1837)
• Philippe Aubert de Gaspé père, Les anciens Canadiens ( 1863)
• Georges Boucher de Boucherville,
Une de perdue, deux de trouvées
(1849)
• Louis Fréchette, La noël au Canada
(1899)
• Honoré Beaugrand, La Chasse-galerie
(1900)
• Laure Conan, Angéline de Montbrun (1881) premier roman psychologique
Le roman du terroir (1838-1945)
• En réaction au mépris du Gouverneur Durham qui affirme au lendemain des troubles de 1837-1838 que les Canadiens-français forment un peuple sans histoire et sans littérature, et pour freiner l’exode rurale, l’élite canadienne-française et le clergé assignent à la littérature la mission de célébrer le pays. Le roman du terroir idéalise la colonisation et présente l’agriculture comme le seul moyen de survie de la nation.
Le roman du terroir (1832-1945)
• Patrice Lacombe, La terre paternelle (1832)
• Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin
(1855)
• Antoine Gérin-Lajoie,
Jean Rivard (1862)
• Félix-Antoine Savard,
Menaud maître draveur (1896)
• Ringuet, Trente arpents (1938)
• Louis Hémon, Maria Chapdelaine (1914)
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