Le terrorisme
Le Terrorisme comme forme exteme de violence.
Relation de Elisabetta Natale et Daniela Musina
DEFINITION
Terrere en latin, signifiait « faire trembler »
L’usage de la terreur fait son apparition, en tant que méthode de gouvernement, dès l’aube des sociétés organisées, comme facteur de dissuasion ou comme châtiment.
La première occurrence du mot terrorisme est signalée dans le Journal de la Liberté du Peuple de Gracchus Babeuf, le 11 septembre 1794. Sa signification renvoie à la condamnation des techniques de gouvernement utilisées par les partisans de Robespierre.
Ce phénomène, à des dégrées divers, a été constant au cours des âges précédents, et fréquent depuis.
Son impact vise d’abord les esprits. En ce sens, le terrorisme est la forme la plus violente de la guerre psychologique et dépasse, très largement ses effets physiques et sert, à créer du pouvoir en espérant atteindre par le bas ce dont l’état dispose par le haut. De façon théorique, le terrorisme consiste dans l’usage de la peur par des minorités ou des individus, en vue de déstabiliser puis détruire un ordre existant voulu par une majorité ou imposé par un despote. Un grand nombre d'organisations politiques ont recouru au terrorisme pour faire avancer leur cause. Des partis de gauche comme de droite, des groupes nationalistes, religieux ou révolutionnaires, voire des états, ont commis des actes de terrorisme.
Le terme de terrorisme est aujourd'hui très fréquemment employé en droit international et par les institutions internationales, mais à la simple question : « Qu’est-ce que le terrorisme ? », il est bien difficile de trouver une réponse univoque.
Le droit international ne parvient lui-même pas à lui donner une définition, mais l'absence de consensus sur une définition universelle n'empêche toutefois pas les législateurs, internationaux et nationaux, d'élaborer des régimes juridiques visant à lutter contre le terrorisme.
En 1934,