Le torero hallucinogène dali
1er objet d’étude : Le Torero Hallucinogène. Salvador Dali, St. Petersburg, Floride. 1968-70. (4 x 2,9 m)
A savoir :
La découverte d'une paire de béquilles abandonnées dans le grenier de la maison paternelle fut une révélation. Il la définit comme un « support en bois dérivant de la philosophie cartésienne. Généralement employé pour servir de support à la tendresse des structures molles ». Elle devint immédiatement un objet fétiche qui prolifère dans son œuvre souvent pour soutenir un appendice mou.
L'Angélus de Millet devint une véritable obsession chez Dalí. Ses personnages furent représentés dans un grand nombre de ses toiles depuis Monument impérial à la femme-enfant, Gala – Fantaisie utopique (1929) jusqu'à La Gare de Perpignan en 1965. Dalí s'expliqua souvent sur l'érotisme du tableau, en même temps que sur sa conviction que le couple priait autour du cercueil de leur enfant mort. De façon étonnante, une radiographie réalisée au Louvre révèle une zone sombre et rectangulaire, sous la terre, entre les deux personnages.
Le Torero Hallucinogène. Salvador Dali
St. Petersburg, Floride. 1968-1970. (4 x 2,9m)
Présentation de la peinture :
Cette peinture est une huile sur toile et s’appelle « Le torero Hallucinogène » et elle a été peinte de 1968 à 1970 par Salvador Dali. Elle fait 4 mètre sur 3 m et est exposée au musée de Dali, à St. Petersburg en Floride au Etats-Unis.
Contexte historique :
Description de l’œuvre :
Dali a trouvé l’inspiration pour ce tableau grâce à une boite de crayons (de la marque britannique Venus Easterbook), ou il y avait la Venus de Milo dessinée dessus. Et selon lui, l'image du torero s'intriquait dans celle de la Vénus. C’était évidant pour le peintre, mais personne de son entourage ne voyait la figure. Nous pouvons l’apercevoir, dans les ombres et les torses des Vénus, le visage d'un toréro (personnage espagnol qui combat les taureaux dans l'arène). Le visage du