Le XVIe s. est le seuil de temps modernes. C’est une période de transition et d’histoire, très mouvementée. On a beaucoup d’événements considérables. Tout d’abord on a l’apparition des phénomènes nouveaux comme « l’Humanisme, la Renaissance et la Réforme ». De plus, on considère les résultats de la découverte d’Amérique.

Deux grandes parties d’histoire : a) La guerre d’Italie b) Les problèmes intérieurs (les guerres de religion)

Les guerres d’Italie (1494) se sont déroulées par Charles VIII sous le prétexte des liens de sang mais la cause réelle était la richesse et la civilisation. Louis XII poursuit la guerre et conquiert le Duché de Milan avec l’aide du Pape avec qui il avait fait une alliance. Ensuite sous le règne de François Ier, la France avait peu de victoires. En Allemagne, en 1529, Charles Quint (Charles V) est élu « Roi de Romans » et devient empereur du Saint-Empire romain germanique. En étant déjà « Roi des Espagnes » il intervient à la guerre et il bat les français en Italie. Henri II poursuit de son tour la guerre mais en 1555, après le défait des français en Saint-Quentin, il signe le traité de Cateau-Cambressis qui met fin aux conflits. Le résultat de cette guerre était la catastrophe économique de la France.
Cependant il existe des problèmes dans l’intérieur du pays. Surtout des problèmes sociaux provoqués par « la Réforme ».
Un moine appelé Martin Luther déclare la guerre contre le traffic financier de l’église en proposant de la réformer. Il dit que le pouvoir de l’église n’est pas absolu. Les princes allemands acceptent ces idées pour des raisons politiques parce qu’ils les trouvent comme un moyen de se libérer de la tutelle de l’Empéreur. Ainsi la Réforme se répand et on l’apparition des « Protestants ».
En France, un autre réformiste, Jean Calvin, homme de lettres, s’éloigne des thèses de Martin Luther en proclamant que Dieu accorde sa grâce aux élus.
En 1534 on a l’Affaire de Placards pendant laquelle on affiche des écrits