Le droit à la nuit-il à la nuit
Rapport de sociologie
Genre : Le droit à la nuit
ABADIE Tanguy, BRIFFA Amélia, GAUTHIER
Ninon, REVOL Solène
Genre : Le droit à la nuit
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I. Introduction 3
II. L’origine du sentiment d’insécurité : quel est ce sentiment et quels sont les facteurs qui influent. 4
A. Facteurs personnels : Un sentiment d’insécurité lié à des pensées et des ressentis personnels …afficher plus de contenu…
Celles qui n’écoutent pas de musique la nuit à la différence du jour ont aussi donné des raisons : “Je fais en sorte de ne pas avoir mes écouteurs comme ça j’entends les bruits autour de moi c’est plus rassurant.” explique
Margaux. “Je ne mets jamais mes écouteurs, j’ai besoin de tous mes sens” confirme
Aliénor, 20 ans. Nous remarquons bien qu’actuellement la plus grande astuce est le téléphone et cela semble marcher. Avoir un contact avec quelqu’un pour créer l’alerte si jamais il y a un problème. Mais pas de musique ! Il faut garder tous ses sens et être capable de gérer la situation. Genre : Le droit à la nuit
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IV- …afficher plus de contenu…
- Astuces (armes, téléphone, etc.…)
- Notion de groupe
- Anecdotes
- Consommation (alcool, drogue)
- Lieux de sortie
- Lieux anxiogènes
Genre : Le droit à la nuit
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Personnes interrogées :
Lorraine : 21 ans, originaire de la campagne, 2 ans à Saint-Etienne, 1 an à Lyon, fac de lettres Alice : 20 ans, originaire de la campagne, 4 ans à Saint-Etienne, fac LEA
Mathilde : 23 ans, originaire d’une petite ville, 5 ans à Lyon, INSA Bioscience
Julie : 21 ans, originaire de Paris, 3,4 ans à Lyon, INSA SGM
Aliénor : 20 ans, originaire de Versailles et Portugaise, habite/ étudie à Versailles, fac de droit
Niki : 20 ans, originaire de la région parisienne, étudie à la Sorbonne
Astrid : 20 ans, originaire d’une petite ville, fait ses études à Paris (1 an) et