Le rouge et le noir, chapitre 5 une négociation :Introduction :Le rouge et le Noir, ou « chronique de 1830 » est roman écrit par Stendhal racontant le destin exceptionnel d'un jeune homme en décalage avec son époque et son milieu d'origine, il est né trop tard par rapport à ses valeurs et aspirations. À travers le regard que Julien porte sur son époque, Stendhal propose une vision sans concession sur la Restauration. Dans le chapitre 5 du premier tome, Le père Sorel se rend chez le maire et, en …afficher plus de contenu…

Le maire. En effet, je cite : « Sorel qui s’être fait attendre une heure ou deux » Cette temporalité montre que le paysan ne semble pas être pressé, et souhaite faire perdre du temps au Maire. De plus ,le père Sorel alterne entre le lexique de la politesse, de la courtoisie et celui de l’arrogance, je cite : « cent excuses, entremêlées d’autant de révérence » puis « toutes sorte d’objections » ; « Toujours plus disposé à incidenter ». Ici le paysan joue la comédie en altérant les hyperboles de courtoisie avec les accumulations de critiques. Cette comédie Stendhalienne indique que le père Sorel à quelques mésentente avec le maire de Verrière.Ensuite on passe au style direct avec l’interrogation du père Sorel, je cite : « cet habit noir lui restera ?». De plus il y a le champs lexical de l’argent, je cite : « cent francs » ; « trois cent francs » ; « …afficher plus de contenu…

Au final, le lecteur à l’impression que l’argent est devenu le thème principale de la conversation. En effet, Les 2 personnages sont désormais en pleine négociation. Par ailleurs on a le champs lexical de la bataille, je cite : « effort de génie, la finesse l’emporta, conversation savante » on constate que chaque paroles du paysans sont calculés, pesé et millimétré. D’autre part, on remarque que la négociation prend de l’ampleur car celle-ci dure 2 heures, je cite : « de deux grandes heures, où pas un mot ne fut dit au hasard » Ce passage