SEQUENCE 1

LECTURE ANALYTIQUE 1

1ere PARTIE DU CYGNE.

Un tableau parisien

Une peinture de Paris qui donne a voir le changement ainsi que les différentes facettes de Paris.

Une perception personnelle lyrique de la ville qui souligne le changement dans le paysage urbain.
La présence du « je » montre que le poète se met en scène. (flâneur) vers 6.
Récit d'une anecdote (vers 14), « là je vis un matin », emploi du Passé Simple.
On souligne le changement (vers 7) « le vieux Paris n'est plus ». « ville » est souligné en contre-rejet. On voit donc qu'il regrette ce changement.
Le poète exprime une plainte (vers 8) « Hélas! ». On peut parler de registre élégiaque (vers 9), « je ne vois qu'en esprit » cette particule restrictive montre le changement perçu avec regret.

Peinture du vieux Paris auquel il est attaché.
On a une vision d'un Paris Hétéroclite, d'un ensemble bizarre, ce sont des éléments pittoresques plutôt délabrés.
Énumération (vers 9-10), répétition de « ce » démonstratif.« Bloc, flaque, herbe » montre un mélange de minéral et d'eau.
Le paysage est une source d'inspiration, il y voit de la beauté « brille », « bric à brac ».
« chapiteaux »et « baraque » désigne un camp de bohémien et désigne aussi un cirque ambulant.
L'anaphore de « la » sous entend une confrontation de 2 Paris : Le vieux et l'ancien.
Opposition de temps verbaux. PS= moderne, Imp Prés= Ancien.
Ce Paris n'est qu'un souvenir, on peut faire un lien entre la ménagerie et le fleuve qui sont tous deux regrettés.
2fois jadis = un lien

Au vieux Paris se superpose un Paris Moderne.
On peut voir une très forte utilisation du vocabulaire du Paris moderne. La voirie est mise en avant grâce à un contre-rejet. ( prosaïque, trivial)
L'utilisation du mot « travail » est le symbole de l'activité à Paris.Baudelaire utilise le présent pour montrer que le nouveau Paris s'impose.
« nouveau carrousel » pour souligner le nouveau quartier.
Le bruit dans la ville