Les armes grises
XVIII / (178-202) : 2 déserteurs arrêtés le matin du 3 – hués par la foule menaçante – la foule demande au maire les déserteurs (qu’elle prend pr les assassins de la petite) – en entendant le nom du juge, la foule, apeurée, se calme – 182-183-(184-185) : Les 2 déserteurs devant Mierck et Matziev : interrogatoire et réactions très différentes du typographe et du petit Breton [témoignage du maire]- le juge a ses aveux, il est content ; le maire stupéfait – « suspension de séance » ; Louisette s’occupe d’aller apporter à manger aux 2 prisonniers – le typographe s’est pendu – tandis qu’on fait ripaille dans le bureau du Maire – le repas commence et le colonel se moque de Louisette- Despiaux [= 3ème témoin ; permet d’anticiper « la fameuse nuit »] – le petit Breton revient ds la salle orgiaque – hurlement du pt Brt ; Matziev ordonne qu’on l’attache ds la cour – (disc de Despiaux bien + tard) – (puis témoignage de Louisette) Mierck et Matziev se saoulent tandis que le pt Brt est dehors – M&M sortent et parlent des étoiles, indifférents au pt Brt – puis s’adressent au pt Brt, qui ne répond qu’en geignant – ap que Matziev a déshabillé le pt Brt, lui et le juge rentrent se réchauffer – des cris de bête ; Matziev ressort vérifier si pt Brt pas mort – le pt Brt, à bout de force, craque et avoue le crime – Despiaux se lève (= fin du témoignage) « Et vous, que faisiez-vous cette nuit-là ? », puis s’en va – sans un au revoir, à ses regrets.
XIX / (203-211) : Madame de Flers (veuve noble improvisée infirmière) – accompagne le narr jsq Clémence ds la salle commune – tte la nuit à regarder Clémence – délire nocturne du soldat à côté – dernier soupir vers le matin – le soldat d’à côté (Albert Jovinal) meurt aussi ;