Dans la première partie, nous assistons à une interrogation intense qui laisse place à des menaces entre Victor et Hélène. Victor interroge Hélène, car il souhaite savoir si elle a couché avec Manuel Lacroix. Hélène de son côté lui tient tête en lui disant «Tu peux me tuer si tu veux. Je ne te dirai rien.»(ligne 5-6). Ce qui vient énerver Victor car il veut une réponse à tout prix. L’hyperbole employée par Victor à la ligne 13 «Toi t’es méchante. T’as la méchanceté écrite dans le visage(…)» nous montre comment il se sent face à la rébellion d’Hélène. Mais Victor ne perd pas courage il insiste la répétition du mot avoue à la ligne 1« Avoue que t’es allé Chez Manuel(…)» et à la ligne 2 «avoue-le» nous montre avec qu’elle acharnement il interroge sa femme. Mais malgré son acharnement et son harcèlement physique il n’obtient pas de résultat. Donc Victor change de technique. Il emploi une technique de désespérer car il veut à absolument savoir ce qui c’est passer. Il va menacer Hélène pour avoir ce qu’il désir. L’anaphore situer à la ligne (31-33) « Même si je dois te trainer chez lui, à ses pieds, même si je dois le forcer à parler à ta place.» nous illustre le désespoir de Victor jusqu’où il est prêt a se rendre pour obtenir satisfaction.
Dans la deuxième partie de l’extrait nous assistons au dévoilement de la vérité et l’indignation qu’elle amène. Hélène a finalement succombé aux instances que lui faisait son mari. Elle finit par avouer qu’elle est allé chez Manuel Lacroix. Cette révélation vient choquer Victor et l’énerve encore plus. En dépit de sa colère Victor souhaite avoir tous les détails. L’anaphore «Puis après? Parle ! Parle ! Puis après ? » (ligne 54) nous démontre le niveau de colère qu’a atteint Victor. Il est si fâcher qu’il lui pose la même question 2 fois sans même lui donner le temps d’y répondre. Hélène n’est plus capable de tenir tête a Victor elle est about de souffle et baisse les bras. Elle lui raconte tout. Les mots «laissée» (ligne 61),