Les catholiques français et le front populaire

La France est durant plusieurs siècle un pays catholiques, la fille ainée de l'Eglise. La révolution puis plus d'un siècle plus tard, la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat de 1905 marque la fin d'une unité. L'Etat est laic, sans religion, mais ce n'est pas pour autant que les forces et l'influence catholique sont négligeable. Cette religion reste en France importante et joue un rôle dans la première guerre mondiale. La monté en France comme en Europe des mouvements d'extrême dès le milieu des années 20 inquiète, et pas seulement les republicains. L'essort du communisme et des ligues est présente dans la nation française et c'est pour pallier cela que le pape Pie XI condamne l'Action Française et le met a l'index en 1926. Le souverain pontif recadre également le journal La croix mais il ne se contente pas de réprimendé les ligues d'extrême droite mais publie en 1931, l'encyclique Quadragesimo Anno. Cette dernière sanctionne et prohibe le socialisme et le communisme qu'il juge incompatible et dangeureux avec la religion catholique. Il va même jusqu'a qualifier le marxisme de "sauvage et inhumain". Le succèsseur de Saint Pierre va également faire un pas vers la democratie et pousse à la concillation dès les années 30, le noms donné a cette décision papale est le second ralliment. Cependant les catholiques français ne sont pas aussi unis que la papauté le souhaiterai. en France, deux mouvements s'oppose, les republiquains et les conservateurs liées a une droite souvent dur. Cela se traduits dans deux organisations antagoniste, la FNC Fédération National Catholique qui est clairement lié a la droite et l'ACJF Association Catholique de la Jeunesse Française qui elle juge que la rechristiannisation de la société ce fera si on l'accepte son évolution. La presse catholique est également très active a cette période et joue un rôle certain dans les relations avec le pouvoir. La monté des ligues fascistes lors de la