Les choses
Le livre que j’ai lu s’intitule les choses et a été écrit par Georges Perec. Avant toute chose, je vais vous expliquez en quelques mots l’histoire de mon livre. Celui-ci décrit, à travers l’histoire d’un jeune couple les dangers de la société de consommation. Le récit est composé de deux parties. La première retraçant leur vie à Paris et la deuxième les suivant en à Tunis (en Tunisie).
Les premières pages du récit nous décrivent une demeure luxueuse. On comprend néanmoins que cet endroit n’est qu’un rêve ou plutôt un idéal. Perec utilise pour se faire, le conditionnel. Par exemple : « Ce serait une salle de séjour, longue de sept mètres environ, large de trois. A gauche, dans une sorte d’alcôve, se trouverait un gros divan de cuir noir flanqué de deux bibliothèques en merisier pale (…) »
Cela nous introduit en fait, le problème, de Jérôme et Sylvie (le jeune couple en question). Ces deux ci désirent plus qu’ils ne peuvent acquérir. En effet, ils cherchent toujours à améliorer leurs histoires. Au début du livre, cela est principalement tourné vers les vêtements. Les deux personnages désirent s’habiller avec l’élégance anglaise. Cela a bien évidemment un prix… prix qu’ils ne peuvent pas se permettre de payer s’ils veulent continuer à vivre !
J’arrive à la première partie de mon exposé qui est en fait la pression qu’exerce la société de consommation sur les consommateurs. La société de consommation attaque le jeune couple à deux niveaux : en le considérant comme des intellectuels, en les traitant comme de futurs cadres supérieurs. Il est en effet frappant de constater la faculté d’adaptation de la publicité qui est rappelons-nous une arme majeure de ce type d’économie ! Les journaux nous en offrent les exemples les plus décisifs. Chaque journal s’adresse à une couche sociale en particulier : dans cet ouvrage, Perec fait allusion à L’Express, vendu surtout dans les milieux de cadres supérieurs. Nous