Essai
Comme tout humaniste, Montaigne s'est passionné pour l'éducation. Ce texte a été écrit pour Diane de Foix qui attendait une enfant. M. est amené à proposer un programme éducatif a ct enfant. Dans un premier temps, Il a défini le type de précepteur qu'il souhaite a l élevé et les qualité qu’il requiert de lui Le texte est divisé en deux parties: - 1) Une attaque véhémente contre l’enseignement collectif qui est dispense dans les collèges de garçons -2) en revanche, il va proposer un programme novateur pour un jeune aristocrate 1) DENONCIATION DE L'ENSEIGNEMENT DONNE DANS LES COLLEGES
Cette dénonciation est marquée par la subjectivité (manière personnelle de voir les choses) (emplois de la première personne) et la véhémence (négation exclusive). Il assimile le collège à une prison (métaphore) puis il attaque le maitre d'école à qui l’élève est abandonné. Il en parle en thermes péjoratifs (2 adj. dépréciatifs et fortement opposés) . Il l’assimile a quelqu'un de dément.
La charge de travail : condamnation de la densité horaire assimilée à une torture. Ce qui montre que l’enseignement est conventuel (couvent. Comparaison hyperbolique-->torture; portefaix
Atténuation de la véhémence avec l’utilisation du conditionnel ;
Il condamne un enseignement trop théorique, trop livresque car cela risquerait de couper l’enfant de la sociabilité
Question rhétorique (l’art ou la technique de persuader, généralement au moyen du langage.)A la base de laquelle se trouve un exemple personnel qui montre que l'on emplois mal ce savoir (abêtis). Reference a un philosophe grecque ce qui ne surprend pas pour un humaniste comme Montaigne--> argument d'autorité qui permet d'aller dans le sens de la condamnation(le sens de l'image concrète).
On retrouve ensuite la véhémence du début. Il condamne le comportement des adultes (gâter, incivilité, barbarie). Suit ensuite une phrase sur rythme ternaire. Condamnation de la sagesse française qui est dénaturée.
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