Poème "les Mains libres" :

Dans l'histoire du genre, on envers la tradition des textes avec les illustrations pourtant le fait qu'un poème s'inspire d'une illustration ( voir "les Phars" de Baudelaire; "Alcool" de Apollinaire il a écrit certains poèmes à partir de M. Laurencin), donc ce qui est interréssant dans la collaboration de Man Ray et Paul Eluard c'est qu'ils revendiquent cette posture d'illustrateur, on est obliger d'associer entre corps et images. Tout d'abord le rapport traditionnel de l'illustration on s'est que l'image sert à illustrer le texte, il est destiner à éclairer le texte ou inversement, c'est un prolongement esthétique au texte soit le texte est un prolongement esthétique à l'image hors Eluard refuse ce prolongement descriptif, redondant ( = qui se répète). " lors d'une conference à l'occasion d'une exposition internationale de surréalisme à Londres en 1936 juste un an avant la composition du recueil, il dénonce le rapport traditionnel entre texte et image. En effet il ne faut pas : "s'installer devant une image, devant un texte comme devant un mur, pour le répéter".
Donc on va voir que les poèmes d'Eluard rejette la relation de l'indépendance entre le texte et l'illustration, il s'agit d'inventer un nouveau rapport entre images et illustrations sera régit par le principe de liberté.
En effet ce principe de liberté est en évidence dans le dessin de Man Ray, il laisse aller sa plume librement sur la page, lui-même a qualifier ce dessin d'automatisme, on a un enchevêtrement de courbes avec quatre ouverture sur les bords qui suggèrent l'image d'un labyrinthe. Il est significatif, ce dessin est le seul de l'ouvrage a ne pas être figuratif.
L'ambition du recueil "Les Mains libres" se manifester dans cette illustration que la liberté de main consiste à aller nulle part, du coup cette main ouvre les porte de l'infini, infini des formes, infini de l'interprétation. Il faut savoir que au départ le premier titre de ce dessin était