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|Les motivations |
|Psychosociologie des organisations |

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Sommaire

Introduction

Un étudiant en quête de son premier stage est dans un état de motivation[1] car il est intrigué par une première expérience professionnelle. En effet, il est à la recherche de stimulations positives et externes. La stimulation positive, Strokes en anglais, est utilisée pour la première fois par E.BERNE, l’auteur de l’analyse transactionnelle. C’est la plus utilisée dans les organisations et le management parce qu’il s’agit des mêmes fondements de notre éducation.

Néanmoins, après quelques jours de travail, le stagiaire se rend rapidement compte de sa situation : il ne bénéficie pas de rémunération, il n’a pas de considération de la part de ces supérieurs hiérarchiques, personne ne lui confie véritablement de responsabilités. Tout cela le menant vers une démotivation. Il s’agit d’une baisse de la motivation ou une disparition de l’enthousiasme, l’implication, la satisfaction, le plaisir originel. De plus, si sa situation en tant que stagiaire s’aggrave, il peut se retrouver en situation d’amotivation. Soit, le sentiment d’autodétermination est nul car le sentiment de contrainte et de résignation est très fort et il n’existe pas de relation entre les actes et les conséquences.

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Le mot motivation vient du latin Movere signifiant mettre en mouvement. En effet, l’homme fonctionne comme un moteur de voiture en marche. Il suffit de remplacer l’essence, l’huile et l’ensemble des éléments pour faire démarrer une voiture par les facteurs de motivation.

Maintenant que nous pouvons définir la motivation, nous nous demandons Comment nous pouvons motiver et notamment au travail.

I. La motivation

A. Le