Les principes de bases de l’économique

* Le management
Frederick Winslow Taylor : Le time and motion study donnera naissance à l’OST (en réponse à l’afflux de main d’œuvre non qualifiée aux USA) conçoit le « one best way » l’unique et bonne manière de produire. Il y a une double division du travail : horizontale (le travail est éclaté en une multitude de tâches basiques) et verticale (les tâches sont conçues par l’encadrement, les cols blancs).
Henry Ford : mise au point de la double standardisation (standardisation des véhicules, la Ford T noire par exemple qui permettait une production de masse mais aussi la standardisation des pièces détachées qui éliminait le temps d’ajustage des pièces) et de la chaîne mobile de montage « la marche à pied n’est pas une activité rémunératrice ».
Ralph Nader : avocat qui défendait les petits ouvriers à la fin des années 60, a contribué à rendre plus sceptique les consommateurs vis-à-vis de la consommation de masse.
Taiichi Ohno : le toyotisme ou just in time ou lean production ou cinq zéro. Zéro stock (on inverse la logique, on part de la demande pour produire, ainsi on évite les coûts de stockage), zéro délai (l’entreprise doit être réactive et travailler en flux tendus), zéro papier (éliminer les lourdeurs administratives), zéro défaut (éviter les retours en usine ou surcoût du même type) et zéro panne (la machine productive ne doit pas s’arrêter). La responsabilité de tous les ouvriers en est la pièce maitresse, même si en occident il a souvent débouché sur le stress management.
L’effet Hawthorne : une expérience est faite sur la variation de lumière dans les usines ainsi que sur des variations de salaires. L’expérience révèle que le simple fait de s’intéresser à la condition des ses ouvriers fait augmenter la productivité.
Les lois de Parkinson : -Chacun effectue un calcul économique qui le pousse à en faire le moins possible pour gagner son salaire.
-Tout responsable de personnel, pour augmenter sa