Les ponts, arthur rimbaud, lecture analytique
Arthur Rimbaud * Les ponts de Londres et le peintre Turner ont inspiré Rimbaud * C’est une vision personnelle * Illumination au sens français (folie, hallucination) * Une ekphrasis (= c’est une figure qui consiste à mettre sous les yeux du lecteur une description rappelant un autre art que la littérature : la peinture, la sculpture, etc) * Temps des verbes : présent * Champ lexical des couleurs * Champ lexical des arts plastiques * Champ lexical de la musique * Champ lexical du théâtre * « cristal » l. 1 : optique * « des ciels gris de cristal » l.1 métaphore * Allitération en [an] l.2 * Allitération en [l] l. 3 et 4 : canal, élément fluide * Assonance en [i] l.1 et allitération en [r] * Allitération en [b] « blanc » l.10 « tombant » l. 11 * « on » l.7 seul pronom du poème * L.9 accumulation voir même gradation * « des restants » l.9 bouts partiels * « anéantit » l.11 chute * Un narrateur comme un peintre * L. 8 a 10 il se pose des questions à lui-même * « veste », « costume » l. 8 : musiciens, fanfare * Il « distingue » l. 7 donc il est très haut, vision en hauteur (Dieu, le ciel) * Dimension théâtrale * Comme un décor * Comme un rêve où le « rayon blanc » de la fin serait le réveil * Un texte irreprésentable * Impression de cubisme alors qu’il n’existe pas encore * Les modalisateurs nous donne l’impression qu’on est plus sur de rien « on distingue » l. 7, « peut-être » l. 8, les ponts qui « s’abaissent » l. 4 * La vue lui fait défaut, il ne voit plus normalement * « rayon blanc » l. 10 * Soleil du matin * Divin * Projecteur (théâtre) * In nous décrit une œuvre d’art totalement dans sa tête, le poème est le tableau, donc pas vraiment de point de vue * Déictiques (= termes qui permettent de démontrer) « ceux-ci » « ceux-là » l. 1, « ces » l. 2, « autres » l. 3, « ces » l. 5, « d’autres » l. 6, « sont-ce »