les risques de crédit documentaire
Dans le cadre de la mondialisation et de la globalisation, une politique d’ouverture s’est avérée plus que nécessaire pour tout pays voulant s’adapter aux changements économiques, politiques et financiers.
L’impossibilité pour un pays de vivre en autarcie, a rendu nécessaire le recours aux échanges internationaux dans une perspective d’ouverture économiques.
Cependant, Les transactions internationales engendrent des risques considérables aux importateurs, aux exportateurs ainsi que les banques par le biais desquelles s’effectuent les opérations de paiement.
L’environnement international présente des modalités beaucoup plus complexes comparés à celle au niveau local. En effet dans les transactions internationales, la distance qui sépare les parties, la diversité des législations des pays, les montants souvent élevés qui sont en jeu, la différence des monnaies sujettes à du contrôle de change, les événements politiques ou catastrophiques pouvant survenir au cours du déroulement de la transaction font que les parties soient exposées de façon permanente à une kyrielle de risque.
A l’international, quelque soit la nature de la transaction nouée entre un vendeur et un acheteur, ceux-ci s’accordent sur un point très déterminant : le mode de paiement qu’ils choisiront pour le règlement.
Pour préserver les intérêts de chaque partie, les banques proposent aux importateurs et aux exportateurs des produits et des services leur permettant de financer leurs besoins en trésorerie de sorte qu’ils minimisent les risques de non paiement ou de non exécution des termes du contrat.
Néanmoins, ces produits et services répondent différemment aux attentes des parties contractuelles.
Dans ce cadre, chaque partie contractuelle veille à ce que l’instrument choisi lui soit plus adéquat tenant compte du faite que chaque instrument à un effet différent ou contraire sur chacune d’elle.
En générale, la formule choisie peut ou non présenter des avantages au