Les vraies richesses
Jean Giono
Jean Giono avait réuni quelques uns de ses lecteurs fidèles dans un hameau de haute-province, le contadour, afin d'y développer une communauté de pensée autour de valeurs essentielles. Dans les vraies richesses, il poursuit ses réflexions entamees alors.
Ces étudiants qui viennent souvent le voir et sont la jeunesse est si amère, je les interroge sur leurs projets d'avenir. Je suis boulversé de leur amertume, je souffre de leur souffrance. Ils sont comme si une partie de moi même était en train de mourir. Ils me disent qu'ils consacrent ou qu'ils ont consacré de longues années-et les meilleures-a préparer et a passer des examens severes, des concours difficiles. Ils ont des diplômes. Ils se plaignent de n'avoir pas le places auquelles ces diplômes donnebt droit. Ils se désespèrent de ne pouvoir être professeurs, contrôleurs des finances, astronomes.
L'auteur parlera ensuite de l'épanouissement personnel d'un jeune homme qui après avoir fini ses études va dédier sa vie a la vieille ferme de son père ou il a passé son enfance. Jean Giono présente ici un texte argumentatif à visée morale qui nous fera comprendre que l'argent ne fera pas notre épanouissement ni notre bonheur. Les Hommes ont besoin d'une reconnaissance et d'une possession de lui meme qu'il ne trouvera pas dans un métier concentre sur l'argent alors qu'une occupation simple et pure l'aidera à arriver au stade que l'on appèlerais ici bonheur.
En considérant la jeunesse des étudiants comme amère, il montre que ce n'est pas le bon choix de vie.