Les zones névralgiques au proche-orient
- Carte 2, p. 133 : Les flux et réseaux de transport se concentrent sur un petit nombre d’axes maritimes et terrestres au cœur de l’Europe du NO, région industrialisée et urbanisée : axe rhénan, axe Seine-Saône-Rhône, axe sud de l’Allemagne-Milan par la Suisse. Ces flux s’articulent autour de quelques pôles métropolitains qui forment des nœuds de circulation multimodaux. Cependant, cette concentration de flux a des conséquences négatives : saturation des principaux corridors comme les vallées et cols alpins, atteintes à l’environnement etc. A l’inverse, de nombreux espaces situés à l’écart de ces infrastructures de transport sont mal desservis : N de l’Ecosse, Scandinavie, pays de l’est de l’UE ainsi que des région peu peuplées comme le centre de la France => le réseau est incomplet et lâche.
- Carte 1, p. 135 : pour faciliter la libre circulation des biens et des hommes, la construction européenne induit une politique commune des transports destinée à favoriser une meilleure intégration des territoires. L’UE fixe donc 4 objectifs : désenclaver les régions périphériques, développer le transport maritime et ferroviaire (soulager le transport terrestre), favoriser l’intermodalité et multiplier les coopérations transfrontalières. En France, l’UE a déclaré prioritaire d’ici 2020, plusieurs projets ferroviaires reliant la France à ses voisins pour soulager le trafic autoroutier : l’axe Lyon-Turin, l’axe Paris-Strasbourg-Stuttgart et l’axe Lyon-Genève-Bâle.
- Cartes 3, p. 135 et 2 p. 137 : La France est un carrefour européen. Elle est au carrefour des réseaux de transport de l’Europe occidentale